Ah, l’administration réseau ! Un domaine passionnant, n’est-ce pas ? Mais soyons honnêtes, quand il s’agit des examens pratiques, une petite boule au ventre n’est jamais loin.
On a tous connu cette pression, cette sensation que le moindre câble mal branché ou la mauvaise ligne de commande peut réduire à néant des semaines de révisions acharnées.
Croyez-moi, je suis passée par là, à me creuser la tête sur des topologies complexes ou à dépanner des pannes qui semblaient insolubles. Aujourd’hui, avec l’évolution rapide du numérique – pensez au cloud, à la cybersécurité omniprésente ou encore à l’automatisation croissante des infrastructures – les compétences exigées sont de plus en plus pointues.
Les certifications professionnelles comme le CCNA, ou même des diplômes comme le BTS SIO option SISR en France, ne se contentent plus de la théorie ; elles demandent une vraie maîtrise sur le terrain.
Face à ces défis, comment optimiser ses chances et transformer ce stress en une réussite éclatante lors de l’épreuve pratique ? Comment s’assurer que chaque geste, chaque configuration, chaque diagnostic soit précis et efficace ?
C’est ce que j’ai personnellement cherché à comprendre et à maîtriser au fil de mes propres expériences. On sait bien que réussir ces épreuves, c’est bien plus qu’apprendre par cœur ; c’est comprendre, s’adapter, et surtout, anticiper les pièges.
Fort de mon expérience et des retours de nombreux professionnels, j’ai mis au point une approche qui change vraiment la donne. Dans cet article, je vais partager avec vous toutes mes astuces pour booster vos scores aux examens pratiques en administration réseau.
Prêts à exceller ? Nous allons décortiquer ensemble les techniques qui font la différence, les erreurs à éviter absolument et les stratégies d’apprentissage les plus efficaces, surtout avec les dernières tendances technologiques en tête.
Je vous dirai tout, c’est promis !
Déchiffrer les Bases : Votre Ancrage Indispensable

Comprendre, pas seulement mémoriser
Les topologies réseau : visualisez, ne subissez pasLa Simulation à Cœur Ouvert : Votre Laboratoire Personnel
Créez votre propre terrain de jeu
Testez toutes les configurations imaginables
On ne le dira jamais assez, mais la pratique, c’est vraiment la clé de tout. Et grâce aux outils de simulation, on peut se créer un véritable laboratoire personnel sans dépenser un centime en matériel ! J’ai passé des heures et des heures sur des simulateurs, à recréer les scénarios les plus fous, et c’est ce qui m’a le plus préparée. Oubliez l’idée de simplement suivre les exercices du manuel ; allez au-delà. Imaginez des pannes, des configurations atypiques, des défis inattendus. Par exemple, essayez de monter un réseau complet avec plusieurs VLAN, du routage inter-VLAN, un serveur DHCP, un DNS, et pourquoi pas, une petite sécurité de base avec une ACL. Puis, déconnectez un câble aléatoirement et essayez de trouver la panne. C’est en faisant, en refaisant, et en se trompant qu’on apprend le mieux. J’ai personnellement découvert des astuces et des comportements réseau que je n’aurais jamais pu anticiper en lisant simplement un livre. C’est cette liberté d’expérimentation qui forge l’intuition et la rapidité d’exécution, deux qualités primordiales le jour de l’examen. Ne sous-estimez jamais le pouvoir d’un bon simulateur ; c’est votre salle de sport pour les neurones !
| Outil de Simulation | Avantages pour l’Examen Pratique | Conseils d’Utilisation |
|---|---|---|
| Packet Tracer (Cisco) | Interface intuitive, large bibliothèque de périphériques Cisco, idéal pour les examens comme le CCNA. Il est assez léger et facile à installer, ce qui le rend accessible à tous. | Maîtrisez les commandes de base (CLI) et pratiquez les topologies complexes. Familiarisez-vous avec les différents modes de configuration (utilisateur, privilégié, global, interface, etc.). Essayez de reconstituer des scénarios d’examen courants. |
| GNS3 / EVE-NG | Supporte de multiples constructeurs (Cisco, Juniper, Fortinet…), virtualisation poussée, beaucoup plus proche du réel car il utilise de véritables images de systèmes d’exploitation réseau. | Nécessite plus de ressources PC, parfait pour les certifications avancées et les scénarios multi-vendeurs. Utilisez-le pour des labos qui demandent plus de réalisme et d’interopérabilité entre différents équipements. |
| Logiciels de virtualisation (VMware Workstation, VirtualBox) | Permet de créer de vrais laboratoires avec des OS serveurs et clients (Windows Server, Linux, etc.), idéal pour tester les interactions entre machines et les services. | Idéal pour tester les interactions entre machines, les services réseau (DHCP, DNS, Active Directory, serveurs web). Cela vous offre une perspective complète sur le fonctionnement d’un réseau dans un environnement réel. |
Quant à tester toutes les configurations imaginables, c’est là que l’on passe du simple technicien à l’expert. Ne vous contentez pas de faire fonctionner les choses une fois. Essayez de les casser ! Changez un paramètre, mettez une mauvaise adresse IP, désactivez un protocole et voyez ce qui se passe. Observez les messages d’erreur, apprenez à les interpréter. C’est en déconstruisant que vous comprendrez véritablement la robustesse (ou la fragilité) d’une configuration. Et puis, n’ayez pas peur d’explorer les options moins courantes. Par exemple, au lieu de toujours utiliser le même protocole de routage, pourquoi ne pas essayer EIGRP si vous êtes habitué à OSPF ? Ou encore, configurez des ACL plus spécifiques pour voir comment elles impactent le trafic. Ces expérimentations enrichissent votre banque de connaissances et vous rendent plus adaptable face aux imprévus de l’examen. L’objectif n’est pas seulement de réussir le labo, mais de comprendre *chaque étape* et *chaque conséquence* de vos actions. C’est le secret pour ne jamais être pris au dépourvu.
Le Débugging, une Seconde Nature : L’Art de la Traque
Développez une approche méthodique
Les outils de diagnostic : vos meilleurs amis
Ah, le débugging ! C’est souvent là que les nerfs lâchent. Une erreur bête, une ligne de commande mal tapée, et c’est tout un pan du réseau qui ne fonctionne plus. Mais loin de moi l’idée de vous effrayer, car le débugging, ça s’apprend, et ça devient même une seconde nature avec la pratique. La première chose à faire, c’est de ne jamais paniquer. J’ai appris à respirer profondément et à me rappeler ma check-list mentale. Une approche méthodique est essentielle : vérifiez d’abord les couches basses. Le câble est-il bien branché ? L’interface est-elle “up” ? Les adresses IP sont-elles correctes ? Puis montez progressivement : routage, pare-feu, services. C’est une erreur que j’ai faite maintes fois au début : passer directement à une configuration complexe alors que le problème venait d’un simple masque de sous-réseau ! C’est un peu comme être un détective ; il faut collecter les indices, éliminer les fausses pistes et progresser logiquement. Et surtout, documentez vos tentatives ! Même mentalement, tracez le chemin de vos investigations. Ça évite de refaire les mêmes erreurs et de perdre un temps précieux.Pour ça, vos meilleurs amis seront évidemment les outils de diagnostic. On pense tout de suite au fameux et au , mais il y a tellement plus ! Sur les équipements Cisco par exemple, les commandes , , , sont de véritables mines d’or. Apprenez à les utiliser avec des filtres si nécessaire. J’ai eu une fois un souci d’agrégation de liens où un simple m’aurait fait gagner une demi-heure de frustration intense ! Mais il n’y a pas que les commandes. Pour les environnements virtualisés, les outils comme Wireshark sont incroyables pour analyser le trafic. Savoir capturer et interpréter des paquets, c’est comme avoir des yeux à l’intérieur du réseau. Familiarisez-vous aussi avec les journaux système (logs) : ils racontent souvent l’histoire de ce qui s’est mal passé. Et une dernière astuce que j’ai développée : toujours vérifier le périphérique juste avant et juste après celui qui pose problème. Le souci est rarement là où on le pense au premier abord !
Gérer le Facteur Humain : Stress et Temps sous Contrôle
La montre, votre alliée (ou votre ennemie)
Respirer et garder son sang-froid
Soyons honnêtes, l’administration réseau, c’est aussi une question de gestion du stress. Quand le chrono tourne et que le routeur ne veut rien savoir, la pression monte très vite. J’ai vu des candidats, pourtant brillants en théorie, perdre tous leurs moyens. La montre, elle peut être votre meilleure alliée si vous apprenez à la dompter, ou votre pire ennemie si vous la laissez vous submerger. Ma technique personnelle, c’est de découper l’examen en petites tâches et d’allouer un temps maximum pour chacune. Si je bloque sur un point, je ne m’acharne pas éternellement ; je passe à la tâche suivante et j’y reviens plus tard si j’ai le temps. Il vaut mieux avoir plusieurs points à moitié faits que d’avoir passé 45 minutes sur un seul problème insoluble et rater le reste de l’épreuve. N’oubliez pas que dans beaucoup d’examens pratiques, tous les points ne sont pas bloquants, et il est souvent possible de valider une partie même si un élément ne fonctionne pas parfaitement. Entraînez-vous avec des chronomètres pendant vos simulations. C’est en simulant les conditions réelles que vous développerez cette gestion du temps cruciale.Et quand la panique commence à monter, rappelez-vous que respirer est vital. C’est un conseil qui peut sembler banal, mais il fait une énorme différence. J’ai personnellement un petit rituel : quand je sens que le stress prend le dessus, je lève les yeux de l’écran pendant quelques secondes, je ferme les yeux, et je prends trois grandes respirations. Ça permet de recentrer les idées et de retrouver un peu de clarté. La confiance en soi, ça se travaille aussi. Vous avez étudié, vous vous êtes entraîné, vous avez les compétences. Le jour de l’examen, c’est le moment de les montrer. Ne vous laissez pas miner par une petite erreur initiale ; c’est humain. Ce qui compte, c’est votre capacité à rebondir et à corriger le tir. Gardez à l’esprit que les examinateurs cherchent aussi à évaluer votre résilience face aux problèmes, pas seulement votre capacité à taper des commandes parfaites du premier coup. Un bon administrateur réseau sait aussi garder son calme sous pression.
L’Arsenal de l’Administrateur : Logiciels et Matériels
Virtualisation : le couteau suisse moderne

Les câbles et connecteurs : ne les négligez jamais
Dans le monde de l’administration réseau moderne, la virtualisation est devenue un outil tellement puissant que je la considère comme le couteau suisse de l’administrateur. Que ce soit avec VMware, VirtualBox ou Hyper-V, la capacité à créer et détruire des machines virtuelles à volonté, de simuler des serveurs, des clients, des routeurs et des pare-feu, est tout simplement inestimable. Pour la préparation aux examens, c’est une bénédiction. Vous pouvez monter des architectures complexes en quelques clics, tester des scénarios de migration, de déploiement de services, de cybersécurité, sans impacter un réseau de production. J’ai personnellement utilisé des machines virtuelles pour recréer des environnements complets avec Active Directory, DNS, DHCP, et des clients sous différentes versions d’OS. Cela m’a permis de comprendre en profondeur les interactions entre les différents services et systèmes, bien au-delà de ce que les simulateurs de réseau pur peuvent offrir. Maîtriser la virtualisation, c’est s’assurer une longueur d’avance, non seulement pour les examens mais aussi pour votre future carrière. C’est un investissement en temps qui paie au centuple !Et puis, il y a ces éléments si basiques qu’on les oublie presque : les câbles et les connecteurs. On pourrait penser que ce n’est qu’un détail, mais je peux vous assurer que j’ai vu des points perdus bêtement à cause d’un câble RJ45 mal serti ou d’une mauvaise catégorie de câble utilisée. Le jour de l’examen pratique, si vous avez des manipulations physiques à faire, vérifiez toujours deux fois. Un câble Ethernet droit ou croisé, ça change tout ! Une fois, lors d’un labo, j’avais un switch qui ne voulait pas communiquer avec mon routeur, et j’ai passé un temps fou à chercher dans la configuration. Résultat : j’avais utilisé un câble croisé là où il fallait un droit. Une erreur si simple, si frustrante, mais tellement révélatrice de l’importance des fondamentaux. Donc, avant même de toucher à l’interface en ligne de commande, assurez-vous que la connectivité physique est irréprochable. Vérifiez les LED des interfaces, la bonne insertion des câbles. C’est la base, et sans une base saine, même la configuration la plus parfaite ne fonctionnera pas.
Au-delà des Lignes de Code : Penser Réseau Globalement
L’impact du cloud et de la cybersécurité
L’automatisation : préparer l’avenir
Le monde du réseau évolue à une vitesse folle, et les examens pratiques ne peuvent ignorer ces tendances. Il ne s’agit plus seulement de configurer un routeur ou un switch local. Désormais, le cloud est partout, et la cybersécurité est devenue une préoccupation centrale à chaque niveau de l’infrastructure. Si votre examen aborde ces sujets, ne les prenez pas à la légère. Comprenez les principes du réseau dans le cloud (VPC, groupes de sécurité, VPN de site à site), les différences avec l’on-premise. J’ai eu une fois une question sur la configuration d’un VPN entre un réseau local et une instance AWS, et je peux vous dire que mes connaissances en routage classique ne suffisaient pas ! De même, la cybersécurité n’est plus une option mais une nécessité. Savoir configurer un pare-feu basique, des listes de contrôle d’accès (ACL) efficaces, comprendre les principes de l’authentification, de l’autorisation et de la comptabilité (AAA), c’est essentiel. Les attaquants sont de plus en plus sophistiqués, et les infrastructures que vous allez administrer devront être robustes. Pensez toujours “sécurité” à chaque étape de votre configuration.En parallèle, l’automatisation est en train de transformer radicalement le métier d’administrateur réseau. Les scripts Python, les outils comme Ansible ou Terraform ne sont plus l’apanage des développeurs ; ils sont de plus en plus intégrés dans la gestion des infrastructures. Même si votre examen pratique ne teste pas directement vos compétences en scripting, comprendre les principes de l’automatisation, c’est déjà un grand pas. Savoir qu’il existe des moyens de déployer des configurations complexes en quelques minutes plutôt qu’en plusieurs heures, c’est changer de perspective. J’ai découvert Ansible il y a quelques années, et ça a littéralement révolutionné ma façon de travailler. Pour les examens, cela signifie que vous devez non seulement savoir *comment* faire les choses manuellement, mais aussi *pourquoi* certaines tâches pourraient être automatisées et quelles en seraient les implications. C’est une vision d’avenir qui vous positionnera comme un expert tourné vers l’innovation et l’efficacité. Les examinateurs apprécient souvent les candidats qui montrent une compréhension des tendances actuelles et futures du secteur.
Le Jour J : Stratégies pour une Réussite Assurée
La routine de dernière minute
Gérer les imprévus avec agilité
Le jour de l’examen, la préparation technique est une chose, mais la préparation mentale en est une autre, tout aussi cruciale. J’ai ma propre petite routine que j’ai développée au fil des années, et je crois fermement que ça m’aide à démarrer l’épreuve dans les meilleures conditions. D’abord, une bonne nuit de sommeil, c’est non négociable. Pas de révision de dernière minute qui ne ferait qu’embrouiller l’esprit. Un bon petit déjeuner, sans excès mais nourrissant. Et surtout, arrivez en avance. Cela vous laisse le temps de vous familiariser avec l’environnement, de vous installer calmement, de vérifier que tout le matériel fonctionne (clavier, souris, écran). J’ai toujours une petite bouteille d’eau et une barre de céréales avec moi, juste au cas où. Et avant de commencer, je prends toujours une minute pour visualiser mentalement le succès. Ça peut paraître un peu “new age”, mais ça aide à se mettre dans un état d’esprit positif et confiant. N’oubliez pas que votre corps et votre esprit doivent être au top de leur forme pour cette épreuve exigeante.Enfin, attendez-vous toujours à l’imprévu. Ce n’est pas parce que vous avez pratiqué 100 fois le même scénario que le jour J tout se passera comme prévu. Un câble qui ne répond pas, un message d’erreur que vous n’avez jamais vu, un logiciel de simulation qui bugge… tout est possible. L’agilité est votre meilleure arme. Ne vous braquez pas. Si un problème technique indépendant de votre volonté survient (un équipement qui lâche, par exemple), signalez-le immédiatement à l’examinateur. C’est leur rôle de vous aider et de vous fournir un environnement fonctionnel. Si le problème vient de vous, de votre configuration, alors c’est le moment d’appliquer toutes vos techniques de débugging avec calme. J’ai appris que l’attitude face à l’imprévu en dit long sur un futur professionnel. Un administrateur réseau doit être capable de résoudre des problèmes inattendus avec sang-froid et méthode. Donc, respirez, analysez, et mettez en œuvre votre plan B (ou C, ou D !). Chaque épreuve pratique est aussi un test de votre capacité à gérer les crises, une compétence essentielle dans notre métier. Bonne chance à tous et n’oubliez pas : la persévérance est la mère de toutes les réussites !
Pour conclure notre échange
Voilà, mes chers passionnés de réseau, nous arrivons au terme de ce guide pour aborder vos examens pratiques avec sérénité et efficacité. J’espère sincèrement que ces astuces, fruits de mes propres galères et de mes succès, vous seront d’une aide précieuse. N’oubliez jamais que chaque défi est une opportunité d’apprendre, et que la persévérance est votre plus grand atout. Alors, foncez, explorez, et surtout, prenez plaisir à bâtir et à dépanner des réseaux ; c’est un métier fascinant qui ne cesse de nous surprendre !
Quelques pépites d’informations utiles à garder en tête
1. Immergez-vous dans les communautés en ligne francophones : Des forums spécialisés comme CommentCaMarche, ou des groupes Facebook dédiés aux certifications réseau (CCNA, CCNP, etc.) sont des mines d’or. Vous y trouverez des réponses à vos questions, des partages d’expériences et un soutien précieux. C’est aussi un excellent moyen de voir comment d’autres résolvent des problèmes que vous pourriez rencontrer. Participer activement enrichit votre compréhension et vous aide à développer une pensée critique face aux challenges techniques.
2. Ne négligez pas les MOOCs et les plateformes d’e-learning : Des sites comme OpenClassrooms, Coursera (avec des cours en français), ou Udemy proposent des formations souvent très pratiques et à jour. C’est parfait pour approfondir un sujet précis ou découvrir de nouvelles technologies comme les réseaux SDN ou l’automatisation avec Python, sans la pression d’un examen.
3. Développez votre réseau professionnel localement : Participez à des meetups, des conférences (même virtuelles), ou des salons professionnels en France ou dans votre région. Rencontrer d’autres administrateurs réseau, échanger sur les pratiques et les défis du quotidien, c’est enrichissant et cela peut ouvrir des portes inattendues pour votre carrière. LinkedIn est aussi un outil formidable pour cela.
4. Suivez l’actualité tech et réseau en français : Abonnez-vous à des newsletters spécialisées, lisez des blogs techniques français (comme Le Monde Informatique, ZDNet France, ou des blogs d’experts indépendants). Cela vous permet de rester à la pointe des dernières innovations, des menaces de sécurité émergentes et des évolutions des standards réseau. Une bonne culture générale technique est un atout indéniable.
5. Explorez les outils open-source pour vos labs personnels : En plus des simulateurs propriétaires, des solutions comme pfSense pour le routage/pare-feu, Open vSwitch pour la virtualisation réseau, ou même des distributions Linux spécialisées (comme Kali Linux pour la sécurité) peuvent vous offrir des terrains de jeu illimités et gratuits pour pratiquer et expérimenter bien au-delà des sentiers battus. C’est une excellente façon d’acquérir une expérience pratique diversifiée.
L’essentiel à retenir pour votre succès
Pour exceller dans vos examens pratiques d’administration réseau et, au-delà, dans votre carrière, il est crucial de toujours privilégier la compréhension profonde des concepts fondamentaux à la mémorisation superficielle. La pratique intensive via des simulateurs est non négociable pour développer une véritable intuition et une rapidité d’exécution. Maîtrisez l’art du débugging avec une méthode rigoureuse et apprenez à utiliser l’arsenal d’outils de diagnostic à votre disposition. Enfin, n’oubliez jamais l’aspect humain : gérez votre stress, votre temps, et restez agile face aux imprévus. Le monde du réseau est en constante évolution, alors restez curieux des nouvelles tendances comme le cloud, la cybersécurité et l’automatisation. C’est en cultivant ces compétences que vous deviendrez un administrateur réseau confiant, compétent et recherché.
Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖
Q: 1: Comment puis-je réellement me préparer pour les épreuves pratiques, au-delà de la théorie ?A1: Ah, la théorie, c’est la base, on est d’accord ! Mais pour les épreuves pratiques, on entre dans un tout autre jeu. Ce que j’ai découvert, et que beaucoup d’experts confirment, c’est que la simulation est votre meilleure amie. Ne vous contentez pas de lire comment configurer un routeur, faites-le ! Utilisez des simulateurs comme Cisco Packet Tracer, GNS3, ou même EVE-NG. Personnellement, j’ai passé des heures sur Packet Tracer à monter et démonter des topologies, à simuler des pannes et à chercher des solutions. C’est comme ça qu’on développe le réflexe, le fameux “doigté technique” qui fait toute la différence. Plus vous passez de temps à manipuler, à vous tromper (oui, c’est essentiel !), et à corriger, plus les commandes et les concepts s’ancrent naturellement.Mais ce n’est pas tout ! Pensez à des scénarios concrets. Au lieu de configurer bêtement, demandez-vous : “Si cette entreprise avait ce besoin, comment je mettrais ça en place ?”. Les examens pratiques, surtout pour des certifications comme le CCNA ou des diplômes comme le BTS SIO option SIS
R: , ne sont plus juste des tests de mémoire. Ils évaluent votre capacité à résoudre des problèmes dans des situations professionnelles complexes. Donc, entraînez-vous sur des études de cas, des gestion d’incidents, et des aspects de sécurité systèmes.
J’ai aussi trouvé super utile de plonger dans les forums spécialisés et les communautés en ligne. On y trouve des retours d’expérience, des problèmes insolubles pour certains et des solutions lumineuses pour d’autres.
C’est une mine d’or pour affiner votre compréhension des cas d’usage réels et des erreurs à ne pas commettre. Q2: Quelles sont les erreurs les plus courantes à éviter absolument lors des examens pratiques en administration réseau ?
A2: Excellente question ! J’ai vu tellement de mes camarades, et même moi à mes débuts, trébucher sur des bêtises qui coûtent cher. La première erreur, c’est le manque de méthode.
On se lance tête baissée sans planifier. Dans un examen pratique, chaque minute compte. Avant de toucher au clavier, prenez 5 à 10 minutes pour lire toutes les consignes et les questions.
Comprenez l’objectif global, identifiez les dépendances entre les tâches. Ce temps investi en amont vous en fera gagner le double après, croyez-moi ! Une fois, je me suis lancée dans une configuration complexe, persuadée d’avoir tout compris, pour réaliser à la fin que j’avais ignoré une petite phrase cruciale qui changeait toute la topologie.
Résultat : tout à refaire. Quelle perte de temps et d’énergie ! Ensuite, une erreur fatale, c’est la négligence de la documentation et des vérifications.
Quand vous configurez quelque chose, vérifiez-le immédiatement. Un , un , un … Ces petites commandes sont vos meilleures amies pour s’assurer que ce que vous venez de faire fonctionne avant de passer à l’étape suivante.
Combien de fois ai-je vu des personnes arriver au bout de l’examen, tester une connectivité et réaliser qu’une erreur de typo ou une mauvaise adresse IP sur la première étape a tout cassé ?
C’est frustrant ! Et puis, la gestion du temps est primordiale. Si une question vous bloque, ne restez pas dessus pendant 20 minutes.
Passez à la suivante et revenez-y si vous avez le temps. Les examinateurs sont là pour évaluer un ensemble de compétences, pas votre capacité à vous acharner sur un point unique.
Enfin, et c’est un point souvent sous-estimé : le stress. Une mauvaise gestion du stress peut annihiler des semaines de révisions. Respirez, faites une micro-pause mentale.
J’ai un ami qui, avant chaque épreuve, prenait 30 secondes pour visualiser sa réussite. Ça peut paraître bête, mais ça aide à recentrer son esprit. Q3: Face à l’évolution rapide du numérique (cloud, cybersécurité, automatisation), comment s’assurer que mes compétences restent à jour pour les futurs examens ?
A3: C’est une préoccupation absolument légitime, car le monde de l’administration réseau n’est jamais statique, n’est-ce pas ? Franchement, la clé, selon mon expérience, c’est la curiosité et l’apprentissage continu.
Il ne s’agit plus seulement de connaître les bases du routage ou des VLAN. Aujourd’hui, un bon administrateur réseau est aussi à l’aise avec les concepts du cloud, notamment la gestion des infrastructures systèmes et réseaux sur des plateformes comme AWS, Azure ou Google Cloud.
Comprendre comment on déploie des machines virtuelles, configure des réseaux virtuels et gère la sécurité dans ces environnements est devenu fondamental.
J’ai personnellement investi du temps dans des cours en ligne et des labs pratiques sur le cloud, et cela a considérablement élargi mes horizons. La cybersécurité, bien sûr, est omniprésente.
Ce n’est plus une option, c’est une composante intrinsèque de tout réseau. Les examens actuels et futurs intègrent de plus en plus de questions sur la sécurisation des systèmes d’information, la gestion des incidents, la surveillance du réseau, et même les bases de la “blue team” (défense) ou “red team” (attaque) pour comprendre les enjeux.
Il faut s’intéresser aux outils de monitoring, aux stratégies de sauvegarde et de récupération d’urgence. De mon côté, je suis des webinaires, des podcasts spécialisés et je suis abonnée à quelques newsletters d’experts en cybersécurité pour rester au courant des dernières menaces et parades.
Enfin, l’automatisation. C’est la révolution silencieuse de notre métier ! Scripting en Python pour gérer des tâches répétitives, comprendre Ansible, Terraform ou des outils similaires pour l’infrastructure as Code…
C’est ce qui vous distinguera demain. J’ai commencé par des scripts très simples pour automatiser des configurations de base, et petit à petit, j’ai vu l’énorme potentiel.
Ces compétences ne sont pas toujours explicitement au programme de tous les examens pratiques aujourd’hui, mais elles le seront de plus en plus, et surtout, elles sont cruciales sur le marché de l’emploi.
Se former à ces nouvelles compétences, c’est se donner une vraie longueur d’avance, et c’est aussi un moyen fantastique de rendre votre travail plus efficace et moins répétitif !






